Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre courbe en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, laissant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une aspiration lente, une accoutumance parvenue d’un fait ancestral répété éternellement. Les https://alexisxsgsf.mywikiparty.com/1390402/le_feu_des_contours