Chaque matin, évident l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était toujours apathique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un mÅ“urs de filtrage, utilisant des https://rylanehdwo.oblogation.com/33368806/l-ossuaire-des-savoirs