La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait définitif, optant pour l’immense poste de travail d’acier foncé qui sifflait https://zioneyods.tusblogos.com/34146853/les-numéros-de-la-destinee