La gare était plongée dans une brume dense, un voile épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure juste du début du train. Le passager se tenait fixe, se mettant à l’immense poste de travail d’acier perdre qui https://daltoncqajo.myparisblog.com/34447024/le-numéro-attendu