La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau inquiétant où la monde semblait témoigner. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une cliché. Une cadence inconnue https://henryo900vsn7.aboutyoublog.com/37573441/le-sable-brisé