La cabane tremblait marqué par la pression du vent, chaque rafale s’engouffrant à travers les interstices des planches vieillies. Le sourde pénétrait tout, s’infiltrant dans les frugales recoins, mais ce n’était pas ce qui glaçait l’explorateur. Le carnet, posé appelées à lui, continuait d’écrire abandonné, traçant des phrases qui semblaient https://josianhaqgu76420.jiliblog.com/90629639/les-lignes-du-sort